La vie nous prend l’air de rien
un jour le cœur entre ses mains
si au large l’amour s’en vient
nous aurons le plus beau des butins
Qu’y a t’il qui mérite que je laisse aux suivants
dans cette marmite où sont tous mes tourments ?
A qui profite tout ce bon air d’ou vient le vent ?
Pour qui palpite ce coeur en ce moment présent ?
Qui trouvera la pépite que j’ai polie si souvent
sans que ne s’ébruite ce secret pourtant évident ?