le son du labour
Moi quand je laboure c’est en stéréo
jamais à la bourre quelque soit la météo
si ça vaut le détour j’y passe mon traineau
au son du tambour je peins le renouveau
Creo que quiza estaba escuchando :
youtu.be/_iYLbGtPOto
Las piedras jamás, paloma,
¿qué van a saber de amores?
Nulle part ailleurs
Suivez mes périgrinations périphériques de pèlerin pérégrin…
j’ai obtenu mon permis de séjour,
oh à la périphérie de la ville,
cette péripétie dans mon parcours,
de pèlerin pérégrin m’émoustille.
Ce que la musique dit à la lumière
PPP – S20 – Dessine moi un mouton
Concert de Alexis Hk qui chante Brassens
l'injonction diabolique
l’absorption de toute décoction serait une obligation ?
l’addiction à la boisson étant une putain d’aliénation
Une exultation en état de lévitation avant la destruction
la modération reste la protection contre cette tentation
dégustation sans accumulation sous peine de perdition
l’éducation plus que la réglementation ou la prohibition
Mais pourquoi toute cette moralisation ?
photo.gilles.link/histoire/je-bois/
une dernière goutte pour la route
la route est courte
il nous a fallu si peu d’années
pour partout la dérouler
et pensant être libéré
ne cesser de rouler
et en un instant consommer
ce qui avait été accumulé
pendant presque une éternité
sans seulement penser
à un tout petit peu en conserver
pour ceux qui ne sont pas même nés
Les points sur les îles
je cherchais une île , on m’en a offert deux
j’étais encore en ville, ce que je suis chanceux
nul besoin d’exil pour découvrir le fabuleux
c’est un transport facile pour qui est amoureux
Et si tout ceci n’avait aucune incidence ?
La guitoune قيطون de Guy
PPP -S11 – La France moche
Dis Guy, c’est pas ta casbah فصبة que je vois la ?
Je t’avais bien dis de pas la construire dans mon bled بلاد .
Pour cette fois ça va mais ne crois pas que t’as la baraka بركة
sinon fissa في ساعة je lance une fatwa فتوى contre ce gourbi يّ
Si vous voulez changer d’horizon …
Allons voir si la terre est ronde
Do you really believe the earth is going round?
Il est une vieille ronde
Vieille, vieille, comme le monde
Et qui va d’un bout de l’an
Jusqu’à l’autre éternellement
D’abord le printemps s’avance
Car c’est lui qui mène la danse
Et sa toque de velours
Fait rêver tous les alentours
…
Puis l’hiver de son long rêve
S’éveillant quand la nuit s’achève
Au printemps donne la main
Et la ronde tourne sans fin
Chanson traditionnelle
le calme revenu
la vie continue, toutes ces folies disparues, le calme revenu, rien que le bruit de la mer, souviens toi de demain, rien que le bleu du matin, entend le silence souverain, rien que la lumière, respire jusqu’à plus fin.
Lumières . Gérard Manset
Je suis venu te dire … que je Manset
Et mes larmes n’y pourront rien changer
La bienvenue du bienveillant
Je me suis dirigé Dimanche vers les ardoisières de Dourgne dans la montagne noire pour faire quelques photos de pierre en équilibre.
Un géant bienveillant m’y attendait que je ne connaissais pas .
Je l’ai longuement salué
et photographié aussi : les murs d’ardoises et qui plus est les pierriers ont une fâcheuse tendance à glisser . Aussi dans quelques années , ces pierres poursuivront leur course vers le bas de la montagne Noire.
Stop, Si ça continue , va falloir qu' ça cesse
PPP – S08- Pris de vitesse
f4 ISO200 equiv.90mm
Respecte-t-elle la signalisation ?
C’est ce qu’il faudrait savoir !
Puisqu’on joue aux devinettes,
peut-être trouverez vous aussi la chanson qui va avec le titre.
A moins que d’autres ne vous prennent de vitesse !
découverte du monde connu
La fabrique du monde, ce chaudron en ébullition, jamais à cours de révolution, qui refoule toute simplification, trouvera t-il sa destination en évitant l’explosion , en expiant la mondialisation ? Chercher l’explication ne fournit la solution que à ceux capables de bâtir une décision commune , alors peut-être la terre sera ronde.
Filles des jardins – Gérard Manset
Je suis venu te dire … que je Manset
Et mes larmes n’y pourront rien changer
Au soleil de ma nuit
Au puits de mes envies
jamais tari
lorsque je file vers la nuit
si cet astre luit
c’est que je suis en vie.
PPP – S02 – C’est le pied
Les points clés pour cette photo sont le repérage et le déclencheur souple.
C’est une photo des plus préparées que j’ai jamais réalisée.
Si ce n’était la sollicitation du travail hebdomadaire proposé par le groupe 52 semaines PPP, je ne l’aurai probablement jamais réalisée.
Si j’ai bien un trépied photo, je l’utilise très peu.
L’idée du "light painting" pour illustrer l’utilisation du pied m’est vite apparue, même si je n’avais jamais essayé.
Mais animal de grand air, c’est tout le paysage (400 mètres environ) que j’ai voulu peindre . Et la les difficultés commencent.
Il m’a fallu trouver une petite route peu fréquentée, débouchant sur un petit col.
L’essentiel était alors presque fait.
Restait à choisir la bonne heure et la bonne vitesse … de la voiture !
Nous avons fait plusieurs essais avec mon fils au volant.
Heureusement les 40 secondes nécessaires n’imposaient pas une conduite de Fangio.
La cerise sur le gâteau, la divine surprise, c’est ce tournant qui masque la voiture un moment et qui soudain la fait apparaitre de face un bref moment, d’où ce soleil en cadeau.
C’est la magie de la photo : on voit parfois sur la pellicule des choses que l’oeil ne voit pas.